samedi 8 octobre 2011

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vendredi 7 octobre 2011

les routes pouvaient recharger les voitures électriques c'est magnifique





L’idée n’est pas nouvelle mais a été creusée assez loin par une équipe japonaise, qui a expérimenté une liaison radio, plutôt que l’induction. Avec des plaques métalliques incluses dans la chaussée et des pneus équipés de récepteurs métalliques, il semble possible d’alimenter des véhicules en train de rouler. Pour l’instant, le principe fonctionne au labo…
Une équipe de chercheurs, menée par Masahiro Hanazawa (Toyota Central R&D Labs) et Takashi Ohira (Toyohashi University of Technology), travaille sur un système de transmission d'électricité à distance par ondes radio entre la chaussée et les roues d’un véhicule. Le principe diffère de celui de l’induction électromagnétique, connu pour les chargeurs de mobiles sans fil. Comme l'a déjà testé Google, le procédé peut être adapté à la recharge de voitures électriques garées sur un plot.
Première différence du système japonais : il est mieux adapté à la recharge d’un véhicule en mouvement. Des systèmes à induction installés sous la route, alimentant donc des véhicules en train de rouler, ont déjà été imaginés. Mais la transmission se fait à une certaine distance, entre la chaussée et le plancher du véhicule, lequel doit être assez précisément positionné au-dessus du conducteur.
Dans le système japonais, ce sont les pneus qui font office de récepteur grâce à une ceinture de pièces métalliques incluse dans la matière plastique, et à des condensateurs. Ce récepteur n’est donc qu’à quelques millimètres de l’émetteur, qui peut être assez large.
Faire le plein en roulant
De plus, affirme l’équipe japonaise, la transmission par ondes radio, plus simple, conduit à des infrastructures moins coûteuses. Les chercheurs décrivent tout de même de grandes plaques métalliques qu’il faudrait inclure dans le bitume pour former deux pistes. La transmission de puissance électrique par ondes radio n’est pas une nouveauté puisqu'il existe déjà des prototypes pour des systèmes sans fil dans une pièce. Un constructeur chinois commercialise même un téléviseur sans fil alimenté de cette manière.
L’inconvénient de cette technique est la perte inévitable d’énergie. « Elle n’est que de 20 % » a expliqué Takashi Ohira au magazine américain New Scientist. Dans l’appareil de test, décrit dans un communiqué de l'université Toyohashi, on remarque non pas une mais deux plaques métalliques, de 20 par 30 centimètres, la seconde se trouvant au-dessus de la roue. L’expérience n’était là que pour estimer la faisabilité et débroussailler les premières inconnues techniques, comme la fréquence idéale des ondes radio.
Ces premiers pas étant acquis, il reste encore un très long chemin jusqu’à la route électrique. La tension nécessaire n’est pas précisée. Dans le magazine New Scientist, un ingénieur de l’université d’Auckland l’estime à 50.000 volts, ce qui est tout de même beaucoup. Il reste aussi la question des parasites et des interférences avec l’électronique de bord. On peut donc pour le moment se contenter de rêver à des voitures qui iraient faire le plein en roulant…
Schéma de principe du système imaginé par l’équipe japonaise. L’émetteur est composé de deux séries de plaques métalliques (<em>Metal plate</em>) intégrées à la chaussée (là où se trouvent les deux flèches). Le récepteur est intégré au pneu (<em>Tire</em>), inclus dans le caoutchouc (<em>rubber</em>). Il est constitué d’une ceinture de pièces en acier (<em>Steel belt</em>). © <em>Toyohashi University of Technology</em>
Technologie
Schéma de principe du système imaginé par l’équipe japonaise. L’émetteur est composé de deux séries de plaques métalliques (Metal plate) intégrées à la chaussée (là où se trouvent les deux flèches). Le récepteur est intégré au pneu (Tire), inclus dans le caoutchouc (rubber). Il est constitué d’une ceinture de pièces en acier (Steel belt). © Toyohashi University of 


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Steve Jobs est mort






Le fondateur emblématique d'Apple s'est éteint ce mercredi 5 octobre, à 56 ans, des suites d'un cancer du pancréas, qui l'avait déjà éloigné de la direction de l'entreprise. La nouvelle n'est pas une surprise mais le statut du personnage en fait un choc pour l'informatique.
Les commentaires pleuvent après la disparition de Steve JobsBill Gates se dit « profondément attristé ». Barack Obama parle de lui comme de l'un des plus grands inventeurs des États-Unis. Le maire de New York, Michael Bloomberg, le compare à Einstein et à Edison. Même le patron de Samsung, ennemi actuel d'Apple (avec procès et demandes réciproques d'interdiction de ventes de produits, Galaxy Tab 10.1 et iPhone 4S), y est allé de ses condoléances.
Le mot qui revient le plus souvent est « visionnaire ». Il est vrai que Steve Jobs n'a jamais manqué de nez pour sentir les évolutions de l'informatique. Quand son ami Stephen (ou Steve) Wozniak lui montre le micro-ordinateur qu'il vient de bricoler, Jobs part à l'aventure. À l'époque, cela n'a rien d'évident : nous sommes en 1976 et les micro-ordinateurs... n'existent pas vraiment. Le bricolage se trouve un nom, Apple 1, et sera commercialisé sous forme d'une carte électronique à connecter à un clavier et à un écran. Un assemblage maison dans l'air du temps.
L'Apple-1, numéro de série 82, vendu 741,66 dollars le 12 juillet 1976, présenté par Christie's pour sa vente aux enchères. À côté de la carte-mère, on remarque la documentation abondante, dont celle de l'interface cassette, une lettre signée Steve Jobs et une cassette étiquetée Basic.
L'Apple-1, numéro de série 82, vendu 741,66 dollars le 12 juillet 1976, présenté par Christie's pour sa vente aux enchères. À côté de la carte-mère, on remarque la documentation abondante, dont celle de l'interface cassette, une lettre signée Steve Jobs et une cassette étiquetée Basic. © Christie's
La souris accouche du Macintosh
Il faut peu de temps pour que les micro-ordinateurs trouvent leur public aux États-Unis et notamment dans les universités. Jobs et Wozniak conçoivent l'Apple 2, qui deviendra une vedette pour plusieurs années. L'idée est celle d'une machine évolutive avec des connecteurs pour insérer des cartes d'extensions. Encore une fois, le vent est bien perçu et l'idée d'une machine ouverte sera reprise par IBM... et abandonnée par Apple.
Car il est l'heure de la souris... Après la visite du centre de recherche de Xerox, le Parc (Palo Alto Research Center), Jobs en ressort convaincu qu'il faut changer complètement la manière de commander les ordinateurs. Les chercheurs du Parc ont imaginé les icônes du bureau virtuel et des systèmes de pointage, comme la souris. Jobs et Wozniak planchent sur une machine révolutionnaire qui deviendra le Lisa. C'est un Ovni, avec sa souris, son fond d'écran blanc et ses icônes. Massif et coûteux, il sera un échec commercial. Jobs s'entête et veut concevoir un modèle plus petit. Ce sera le Macintosh, lancé par une campagne sans précédent. « Actuellement,prophétise Jobs, les ordinateurs utilisent 80 % de leur puissance pour calculer et 20 % pour l'interface utilisateur. À l'avenir, ce sera le contraire. »Bien vu.
Les dates clés de Steve Jobs chez Apple.
Les dates clés de Steve Jobs chez Apple. © idé
De Star Wars à l'iPhone
Le Macintosh sera un immense succès. C'est le premier ordinateur que n'importe qui peut utiliser pleinement sans formation à l'informatique. Alors que tous les constructeurs font du « compatible IBM PC », Apple s'engage sur une voie toute différente avec ces Macintosh, incompatibles avec tous les autres ordinateurs.
Jobs le visionnaire se fera pourtant évincer d'Apple en 1985 par John Sculley, ancien patron de Pepsi que Jobs a débauché deux ans plus tôt. Apple prépare un outil de poche, le Newton, qui évoque furieusement les smartphone d'aujourd'hui mais c'est l'échec. Apple perd du terrain et ses Macintosh, coûteux, se vendent mal.
Qui sauvera Apple ? Jobs bien sûr. Après avoir fondé Next (une machine surpuissante pour la recherche) et racheté Pixar (un studio d'animations vidéo venu de chez George Lucas et créé pour Star Wars), Jobs revient chez Apple en 1997 pour redresser la barre.
L'iPad 2, plus fin que l'Apple 1 mais disposant tout de même d'un écran et d'un clavier virtuel.L'iPad 2, plus fin que l'Apple 1 mais disposant tout de même d'un écran et d'un clavier virtuel. © Apple
C'est ce qu'il fait, gagnant à cette époque son statut de gourou. Sous son impulsion, Apple sort un iMac, version intégrée du Macintosh. Le succès est bon mais Jobs fait encore plus fort avec l'iPod, petit baladeur craquant, etiTunes, grande boutique de musique en ligne, très lucrative.
Apple mise toujours sur l'innovation technologique et des produits aboutis. L'iPhone, téléphone à connecter à Internet et disposant d'un écran tactileavec la puissance d'un ordinateur, obtiendra un succès planétaire et sera imité par tous les autres, comme l'IBM PC le fut en son temps. Dans la foulée, Steve Jobs, au cours des grands shows dont il était friand, présente l'iPad en 2010, une tablette, un appareil sans clavier et à peu près sans équivalent. Encore un Ovni. Celui-là aura le succès que l'on sait. De nouveau, d'autres constructeurs suivent.
La maladie, contre laquelle il s'est battu plusieurs années, a fini par rattraper Steve Jobs, absent de la présentation des dernières nouveautés. Depuis, la concurrence s'est largement développée, notamment avec des appareils mobiles tournant autour d'Android, le logiciel système de Google. Sûrement, une page de l'histoire de l'informatique vient de se tourner..




Steve Jobs présente l'iMac en 1998. © DR
Steve Jobs présente l'iMac en 1998. © 


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dimanche 24 juillet 2011

Préampli guitare






Présentation
Ce petit montage n'est sans aucun doute pas ce qui se fait de mieux en la matière et il ne possède pas de correcteurs de tonalité. Mais il a le mérite d'être simple à réaliser et de bénéficier d'un coût de revient très faible.






Le schéma :
Il apportera l'amplification qui manque pour saturer pleinement votre ampli, ou permettra d'attaquer dans de bonnes conditions l'entrée ligne d'une carte son ou d'une console de mixage dont la sensibilité est insuffisante. Le capteur-micro pour guitare de type passif possède une sortie dont l'impédance est élevée, ce qui nécessite d'utiliser un préampli dont l'étage d'entrée est à haute impédance (une entrée micro basse impédance n'est pas adaptée). Encore une fois, j'insiste sur le fait qu'il existe des préamplis pour guitare bien plus élaborés que celui qui fait l'objet de ces lignes, dont la conception résulte de recherches poussées au niveau du rendu sonore, et qui sont équipés de correcteur de tonalité à double ou triple point de réglage. Ce préampli est réellement destiné au débutant qui veut réaliser rapidement et facilement quelque chose qui fonctionne (tant qu'à faire). Pour la réalisation d'un préampli pour guitare plus élaboré, merci de faire quelques recherches sur Internet, dans les revues spécialisées ou pourquoi pas sur ce site.
En un seul bout.





L'alimentation:

Le montage n'apporte pas vraiment de commentaire particulier. L'emploi d'un circuit intégré de type TL072 se justifie par le fait qu'il possède une très haute impédance d'entrée (entrée FET), ce qui permet de fixer l'impédance d'entrée du montage à la valeur désirée, ici à 1 MO, grâce à R1. L'amplification est confiée à deux étages séparés, afin de garantir une meilleur stabilité et une bonne bande passante quand le gain est à son maximum. Vous aurez sans doute sursauté à la vue de deux potentiomètres de réglage de gain. Je ne vous en veux pas, rassurez-vous. Je justifie ce choix pour permettre plus de souplesse dans les plages de réglage. Mais personne ne vous oblige à suivre mes ellucubrations, et vous pouvez parfaitement remplacer RV2 par une résistance fixe, si vous connaissez la plage de gain qui vous convient. Si votre capteur délivre un signal d'amplitude élevée, il se peut que vous observiez de la distorsion. Si tel est le cas, vous pouvez réduire la valeur de R5, de 1 MO passer à 100 KO par exemple. Vous pouvez aussi envisager d'utiliser un potentiomètre ajustable pour RV1 et un potentiomètre de tableau pour RV2.

Remarque concernant les micros actifs : certains capteur-micros pour guitare sont de type actif, ils possèdent l'électronique avec une entrée adaptée à l'impédance caractéristique du micro, une correction de tonalité, et une amplification additionnelle. Ces micros se reconnaissent facilement du fait que, contrairement aux micros passifs, ils doivent être alimentés pour pouvoir fonctionner (souvent par une pile 9V). Si vous utilisez un micro actif mais que ce dernier n'apporte pas une amplification suffisante, vous pouvez tout de même utiliser le montage présenté ici, à condition de remplacer la résistance R1 de 1 MO par une résistance de valeur comprise entre 10 KO et 47 KO. Dans cette hypothèse bien sûr, ce préampli ne conviendra plus pour un micro passif... à moins de vous débrouiller pour installer à demeure sur le circuit imprimé, les deux résistances de 1 MO et de 10 KO, et de sélectionner celle que vous voulez à l'aide d'un petit inverseur mécanique.
La tension d'alimentation doit être de type symétrique, deux piles de 4,5 V ou deux piles 9 V suffisent. Vous pouvez aussi employer une alimentation simple de valeur comprise entre 9 V et 24 V, associée à un symétriseur d'alimentation tel que celui visible sur le schéma suivant :







Notes concernant la réalisation:
    Quelques conseils pour partir du bon pied.
    - Câbler R3 le plus près possible de U1:A, et R4 et R5 le plus près possible de U1:B.
    - Si vous observez une oscillation parasite lorsque le gain est maximum, ajouter un condensateur de 22 pF à 100 pF en parallèle sur la résistance R5.
    - Réduisez au maximum la longueur de câble entre le connecteur d'entrée et l'entrée du montage.
    - La sortie du TL072 possède une résistance de limitation de courant intégrée, qui ne le rend pas approprié pour attaquer de grande longueurs de câble. Il existe des circuits intégrés spécifiques dédiés à cette tache tels que les drivers de lignes symétriques DRV134 ou SSM2142 . Souvenez-vous que ce préampli se veut simple, et qu'il ne peut porter le qualificatif de professionnel ! Si vous souhaitez malgré tout améliorer un petit peu cette caractéristique, lisez le paragraphe suivant "Transformation en sortie pseudo-symétrique".



      Transformation en sortie pseudo-symétrique : 
      Moyennant quelques composants supplémentaires, vous pouvez améliorer un peu le comportement de ce montage lors de l'utilisation d'un câble de sortie de grande longueur. Il suffit de modifier la sortie comme indiqué sur le schéma ci-dessous. Notez que j'ai remplacé la seconde moitié du TL072 par un NE5534, la première moitié peut alors être remplacée par un TL071 (pour résumer : deux AOP simples différents au lieu d'un AOP double). Les deux paires de condensateurs de 1000 uF montés en série tête-bêche (pôles - raccordés entre eux) permettent de constituer des condensateurs de liaison de forte valeur non polarisés.






      Circuit imprimé :
      Réalisé en simple face.


      Mise en boitier :
      Le boitier devra impérativement être en métal (l'alu convient parfaitement et est facile à usiner) ! L'entrée et la sortie se feront sur les connecteurs de votre choix, mais je préconise tout de même l'emploi du connecteur le plus répendu pour cette application, à savoir le jacks 6,35mm. Je conseille l'utilisation de connecteurs dont la masse est isolée du chassis. Vous pourrez ainsi raccorder toutes les masses en interne, en un seul et unique point.







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      Une caméra sans lentille de la taille d'une tête d'épingle





      Un groupe de chercheurs et d’ingénieurs de l’Université Cornell a réalisé une caméra minuscule d’un peu moins d’un millimètre. Elle pourrait avoir des applications révolutionnaires en médecine ou robotique.
      Un centième de millimètre d’épaisseur pour un demi-millimètre de côté : c’est la taille d’un capteur en silicium dopé qui se comporte comme une caméra électronique avec 400 pixels. Dépourvue de lentilles et certainement pas destinée à faire des films de vacances, la caméra mise au point par Alyosha Molnar et Patrick Gill de l’Université de Cornell n’en permet pas moins de saisir des images permettant de reconnaître grossièrement des objets, comme par exemple la Joconde de Léonard de Vinci.
      La performance, détaillée dans un article récent de Optics Letters donné en lien ci-dessous, est un sous-produit des recherches de Gill et ses collègues dans le domaine de l’imagerie cérébrale. Les chercheurs avaient en effet pour but de développer des systèmes optiques implantables et sans lentilles, afin d’observer in vivo des neurones modifiée pour émettre de la lumière lorsqu’ils sont en activité. Sans parler de véritables nanorobots dans le sens des spéculations débridés des transhumanistes. Des robots miniatures équipés de ces caméras pourraient bien sûr se révéler fort intéressants pour sonder les tissus d’un organisme vivant ou effectuer certains diagnosticsmédicaux.
      Le coût de fabrication de telles microcaméras est dérisoire puisqu’il s’élève à quelques centimes d’euro seulement. Ce qui fait l’efficacité de ce micro-objet, c’est aussi le fait que les images sont obtenues à partir d’un traitement mathématique dérivé des fameuses transformations de Fourier, bien connues en théorie du traitement du signal et à fortiori en imagerie. Cela se reflète d’ailleurs dans le choix du nom du dispositif en silicium puisque les chercheurs l'ont baptisé Planar Fourier Capture Array (PFCA).



      Sur la gauche une image de Mona Lisa et sur la droite la même, observée par le <em>Planar Fourier Capture Array</em> (PFCA). © Molnar lab.
      Sur la gauche une image de Mona Lisa et sur la droite la même, observée par le Planar Fourier Capture Array (PFCA). © Molnar lab
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